« (…) recherchez l’unité » (Ph 2, 2b)
Le mot unité est composé du préfixe
« Uni-. (…) issu du latin unus « un », qui s’oppose en général à
l’idée de multiplicité.» (HONGRE Bruno, Le
dictionnaire portatif du bachelier, Paris, Hatier, 2008, p. 675.) et du
suffixe « -té » qui selon Le petit dictionnaire Larousse illustré de 2015, renvoie au « caractère ».
L’unité renvoie donc à l’état de ce qui est un et pour le présent travail,
celle-ci n’est pas à entendre par exemple dans le sens d’une uniformité d’ordre
racial, linguistique ou culturel. Mais elle doit être comprise dans le sens de
l’unité de tous les hommes, de leurs cœurs et de leurs esprits. Or, considérant
notre monde actuel, nous constatons avec regret que celui-ci traverse des
situations de divisions au niveau interindividuel, inter familial et entre les
Etats. C’est pourquoi nous réfléchissons sur la recherche de l’unité et
trouvons légitime de vivre les exigences de cet appel de l’apôtre Paul : «(…)
ayez les mêmes dispositions, le même amour, les mêmes sentiments ;
recherchez l’unité. » (Ph 2, 2). Dans notre analyse nous tenterons dans un
premier temps, de donner des raisons justifiant une telle recherche et dans un second
temps de présenter des moyens pour marcher sur la longue route de l’unité.
I. Trois raisons légitimant la recherche de l'unité
I. Trois raisons légitimant la recherche de l'unité
Reconnaissance
de la fraternité universelle
Notre
monde a connu et connaît des divisions en son sein. Il y a des mésententes au
niveau des personnes, les croyants, les non- croyants comme au niveau des
cellules familiales, des Etats et il y a
des tueries dans le monde. En témoignent par exemple les attentats perpétrés par les
terroristes. Toutes ces situations de discorde ne doivent pas demeurer ainsi ou
perdurer indéfiniment. Car, nous sommes tous frères, sans exception, nous
sommes nés, grandissons et vivons dans la famille terrestre. « Dieu créa
l’homme à son image, à l’image de Dieu il le créa, homme et femme il les créa. »
(Gn 1, 27). Et Jésus d’ajouter: « Pour vous, ne vous faites pas appeler « Rabbi » :
car vous n’avez qu’un maître, et tous vous êtes des frères. N’appelez personne
votre « père » sur la terre : car vous n’en avez qu’un, le Père
céleste. » (Mt 23, 8-9). De la lecture de ces deux passages, nous pouvons
tout simplement retenir ceci : parce que nous avons été créés par le même
Dieu, nous sommes ses créatures, ses enfants. Et entre nous le nom qui nous
convient le mieux est celui de frères ; « (…) et tous vous êtes des
frères » nous a dit Jésus. Et ce qui convient véritablement à des frères, comme nous dit le psalmiste,
c’est « de vivre ensemble et d’être unis ! » (Ps 132, 1). En résumé, l’acceptation du partage de la
fraternité universelle par tous les hommes, chrétiens comme non-chrétiens, croyants
comme non-croyants, est la base de la recherche de l’unité. Puisque nous sommes
tous frères, nous devons rechercher constamment le bien de l’autre. Le
bienheureux Charles de Foucauld, cet homme dont la vie exemplaire était
empreinte de ce caractère universel de la fraternité disait
ceci : « Tout chrétien doit regarder tout humain comme un frère
bien-aimé ; (…) il a pour tout humain les sentiments du cœur de Jésus.» (Petite sœur
Annie de Jésus, Charles de Foucauld. Sur
les pas de Jésus de Nazareth, Nouvelle Cité, 2001, p. 114). Nous appuyant
sur ces mots du bienheureux Charles de Foucauld, nous pouvons préciser que
c’est non seulement le chrétien mais aussi tout homme en général qui doit avoir
ce regard rempli d’amour pour son semblable, son frère. Ainsi la fraternité
universelle sera véritablement vécue. Que notre fraternité et notre amitié soient
de plus en plus vécues dans l’ouverture à tous nos autres frères et sœurs!
Après avoir reconnu la fraternité universelle partagée par tous les hommes,
nous choisissons maintenant de nous pencher sur la nécessité de l’unité de tous
les chrétiens.
2 L’exigence de l’unité
de tous les chrétiens
La
veille de sa Passion-Mort sur la croix, Jésus a prié Son Père pour l’unité de tous ceux qui
croient en Lui, ses disciples et pour ceux qui croiront en Lui: « Je ne
prie pas pour eux seulement, mais aussi pour ceux qui, grâce à leur parole,
croiront en moi, afin que tous soient un. (…) Je leur ai donné la gloire que tu
m’as donnée, pour qu’ils soient un comme nous sommes un : moi en eux et
toi en moi, afin qu’ils soient parfaits dans l’unité, et que le monde reconnaisse
que tu m’as envoyé(…) » (Jn 17, 20-23). Nous voyons bien clairement que le
Christ veut l’unité des chrétiens. Pour Jésus, leur unité est un témoignage
crédible, un moyen pour que le monde adhère à sa parole, croie en Lui et
parvienne au salut éternel. Mais que nous apprend l’histoire de l’Eglise ?
Elle nous révèle que celle-ci a connu des divisions conduisant même à des
schismes. De nos jours, nous avons les Eglises catholique, orthodoxe,
luthérienne, calviniste, anglicane. Nous pouvons même ajouter les églises
évangélistes et les sectes chrétiennes. A ce propos, nous lisons ceci dans
l’avant-propos du Décret sur l’œcuménisme:
« Il est certain qu’une telle division s’oppose ouvertement à la volonté
du Christ. Elle est pour le monde un objet de scandale et fait obstacle à la
plus sainte des causes : la prédication de l’Evangile à toute créature.» (Documents du Concile Vatican II, Décret sur l’œcuménisme, Unitatis
Redintegratio, Editions Saint-Augustin Afrique, 2012, 4e édition,
p. 141). Conscients alors de la Volonté divine, des efforts sont déjà consentis
par les grandes confessions chrétiennes sous l’action du Saint-Esprit, pour
leur union. D’où toute l’importance du mouvement œcuménique, mouvement pour
l’unité des chrétiens. Après l’exposé des fondements de la recherche de
l’unité, nous essayons de répondre dans la seconde partie à la question :
comment pouvons-nous réaliser ce noble idéal ?
II. Moyens en vue d’une
quête de l’unité
1 La prière
Ce
projet qu’est la recherche de l’unité de tous les hommes est avant tout celui
de Dieu. Ce noble projet Lui tient à cœur. Il est et fut le Premier à vouloir
rétablir l’unité entre les hommes. Au moment favorable, Jésus, le Fils de Dieu
et Dieu, est venu sur notre terre en devenant homme et est mort sur la Croix,
« afin de rassembler dans l’unité les enfants de Dieu dispersés. »
(Jn 11, 52). Dans le but de l’imiter, un moyen qu’Il nous a montré, est la
prière. Avant son sacrifice sur la Croix, de Dieu qu’Il est, Il a prié Son Père
pour la réalisation de l’unité des chrétiens devant aboutir à l’unité de tous
les hommes. C’est la raison pour laquelle, nous les chrétiens, nous devons
avoir recours au Tout-Puissant, à la Sagesse qu’est Dieu, par la prière, pour
l’accomplissement de sa volonté. Cette communion à la prière du Christ, loin
d’être une substitution à la prière du Christ et une invitation à la passivité,
est un engagement, une disposition des chrétiens à vivre les exigences de la
Parole de Dieu, pour qu’Il réalise aussi par nous l’unité de tous : « Le
Christ donne toujours à son Eglise le don de l’unité, mais l’Eglise doit
toujours prier et travailler pour maintenir, renforcer et parfaire l’unité que
le Christ veut pour elle. » (Cathéchisme
de l’Eglise Catholique,
Editions Paulines, Côte-d’Ivoire, 2011, CEC 820). Ajoutons que ce serait une
bonne chose que nous contractions cette bonne habitude pour nous adresser sans
cesse à Dieu pour la paix, l’unité dans le monde dans nos prières personnelles
et communautaires.
2 L’amour et ses exigences
Le deuxième moyen que nous proposons dans la quête
de l’unité est l’amour. C’est le commandement de Dieu, le premier et l’ultime.
Avant sa mort sur la Croix, le Christ nous a invités dans son Testament, à
travers ses disciples à l’amour mutuel : «(…) comme je vous ai
aimés, aimez-vous les uns les autres. » (Jn 13, 34). Jésus connaît la
valeur inestimable de l’amour qui a une grande force capable de réaliser
l’unité du genre humain. C’est pourquoi aussi l’apôtre Paul à la suite de son
Maître nous dit ceci à propos de l’amour : « (…) c’est lui qui
fait l’unité dans la perfection.» (Col 3, 14). Si tous les hommes vivaient
véritablement l’amour, les divisions de toutes sortes disparaîtraient et nous
serions unis. Ne serait-ce qu’au nom de la fraternité universelle, tout le
monde devrait aimer. En plus de cela, le vécu de l’amour est ce qui donne de la
valeur à l’homme. Saint Paul, dans le bel éloge qu’il rend à l’amour, affirme :
« J’aurais beau parler toutes les langues de la terre et du ciel, si je
n’ai pas la charité, s’il me manque l’amour, je ne suis qu’un cuivre qui
résonne, une cymbale retentissante. (…) s’il me manque l’amour, je ne suis
rien. » (1 Co 13, 1-2). Reconnaissons
aussi qu’aimer n’est pas toujours facile. C’est pourquoi, la fondatrice du
Mouvement des Focolari , CHIARA Lubich nous dit ceci : « (…)
l’art d’aimer : voilà la croix que nous devons choisir chaque jour, notre
croix par excellence. » (Le
secret de l’unité. L’unité et Jésus abandonné, Editions
Focolari, 2002, p. 11). Cet « art d’aimer » est en effet exigent car
il nous demande un effort de dépassement de notre personne. Entre autre exigences,
nous avons d’abord la vie dans l’humilité. Celle-ci nous porte à respecter
autrui, à le considérer à sa juste valeur : « Gardez-vous de mépriser
un seul de ces petits, car, je vous le dis, leurs anges dans les cieux voient
sans cesse la face de mon Père qui est aux cieux. » (Mt 18, 10). Le manque de cette vertu peut être
source de domination entravant ainsi la quête de l’unité. (…) n’accordez rien à
l’esprit de parti, rien à la vaine gloire, mais que chacun par l’humilité
estime les autres supérieurs à soi(…) » nous dit même saint Paul en Ph
2,3.
Une autre exigence de l’amour consiste, ensuite, à cultiver l’attention envers les autres. Cette attitude nous porte non seulement à veiller sur ceux qui nous sont proches, mais surtout à aller à la rencontre des mal-aimés, des marginalisés de notre société. La recherche de l’unité inclut sans exclure personne, même ceux qui ne partagent pas forcément notre foi. Le manque d’attention dont ces personnes peuvent souffrir les empêche d’être en communion avec les autres hommes. CHIARA Lubich, à propos de ces personnes nous dit même que « le plus souvent, aiment à leur tour parce qu’elles ont été aimées. Et de là naît à nouveau l’unité. » (Le secret de l’unité, opere citato, p.106). Faisons attention pour ne pas tomber dans le piège de l’indifférence envers les autres, cultivons l’attention aux autres, afin que personne ne reste en marge du mouvement vers l’unité des hommes.
Enfin, l’amour nous ordonne de pardonner. Dans notre marche vers l’unité, nous pouvons rencontrer des obstacles, ce qui peut faire que nous ne soyons plus en bons termes avec tels frères ou sœurs : un tort peut nous être causé ou nous pouvons faire du mal à l’autre. Dans de tels cas de désunions, ayons cette force pour aller trouver le frère ou la sœur afin de clarifier la situation si besoin est et réconcilions-nous, avec l’aide de Dieu. C’est de la grandeur que de demander pardon, c’est de la grandeur aussi que pardonner aussi à l’autre pour le mal qu’il pourrait nous faire. Si la miséricorde de Dieu, Lui qui est la Grandeur, est infinie, qui sommes-nous pour ne pas pardonner aussi aux autres ? Dans la prière du « Notre Père », ne disons-nous à Dieu : « Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous offensés. » ? Avec le secours de Dieu, cultivons donc cette spontanéité à rétablir les liens de fraternité, d’amitié brisés, à nous réconcilier avec nos frères et sœurs !
Une autre exigence de l’amour consiste, ensuite, à cultiver l’attention envers les autres. Cette attitude nous porte non seulement à veiller sur ceux qui nous sont proches, mais surtout à aller à la rencontre des mal-aimés, des marginalisés de notre société. La recherche de l’unité inclut sans exclure personne, même ceux qui ne partagent pas forcément notre foi. Le manque d’attention dont ces personnes peuvent souffrir les empêche d’être en communion avec les autres hommes. CHIARA Lubich, à propos de ces personnes nous dit même que « le plus souvent, aiment à leur tour parce qu’elles ont été aimées. Et de là naît à nouveau l’unité. » (Le secret de l’unité, opere citato, p.106). Faisons attention pour ne pas tomber dans le piège de l’indifférence envers les autres, cultivons l’attention aux autres, afin que personne ne reste en marge du mouvement vers l’unité des hommes.
Enfin, l’amour nous ordonne de pardonner. Dans notre marche vers l’unité, nous pouvons rencontrer des obstacles, ce qui peut faire que nous ne soyons plus en bons termes avec tels frères ou sœurs : un tort peut nous être causé ou nous pouvons faire du mal à l’autre. Dans de tels cas de désunions, ayons cette force pour aller trouver le frère ou la sœur afin de clarifier la situation si besoin est et réconcilions-nous, avec l’aide de Dieu. C’est de la grandeur que de demander pardon, c’est de la grandeur aussi que pardonner aussi à l’autre pour le mal qu’il pourrait nous faire. Si la miséricorde de Dieu, Lui qui est la Grandeur, est infinie, qui sommes-nous pour ne pas pardonner aussi aux autres ? Dans la prière du « Notre Père », ne disons-nous à Dieu : « Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous offensés. » ? Avec le secours de Dieu, cultivons donc cette spontanéité à rétablir les liens de fraternité, d’amitié brisés, à nous réconcilier avec nos frères et sœurs !
3 Moyen pour l’unité des
chrétiens
En plus de tout ce qui a été dit, nous pensons que
la poursuite du vécu de l’ouverture entre les confessions chrétiennes, pourra
sous l’action de Dieu, porter le fruit tant désiré. Cette ouverture est avant
tout une disposition intérieure que ces confessions ont et doivent de plus en
plus avoir, pour vivre réellement l’unité entre elles. C’est cette ouverture
qui rend possible et fructueux le dialogue, visant à trouver un consensus et à
l’observer réellement, grâce à Dieu. Dans ce sens, c’est elle qui rend possible
la conversion du cœur : « Il n’y a pas de véritable œcuménisme sans
conversion intérieure. » (Documents
du Concile Vatican II, Décret sur
l’œcuménisme, Unitatis Redintegratio, Editions Saint-Augustin Afrique,
2012, 4e édition, p. 148). Elle permet aussi et plus précisément le
rapprochement entre les confessions chrétiennes. A ce niveau, considérons deux
illustrations. Penchons-nous sur cette affirmation : « Il ne faut pas
(…) oublier que les Eglises d’Orient possèdent depuis leur origine un trésor
auquel l’Eglise d’Occident a puisé beaucoup d’éléments de la liturgie, de la
tradition spirituelle et du droit.» (Documents
du Concile Vatican II, Décret sur
l’œcuménisme, Unitatis Redintegratio,
Ibidem, p. 153). Dans cette assertion, nous pouvons effectivement voir une attitude d’ouverture de l’Eglise
Catholique qui accueille la complémentarité dans l’Eglise orientale. Cela est à
saluer à sa juste valeur et c’est en même temps une invitation pour les autres
Eglises à avoir le sens de l’objectivité pour vivre l’exigence de l’unité des
chrétiens voulue par le Christ. La seconde illustration nous fera voir une
autre posture d’ouverture des Catholiques, des Anglicans, des Luthériens et des
Orthodoxes. Ce Mouvement providentiel qu’est celui des Focolari (Mouvement
chrétien, né en 1943 dans la ville de Trente en Italie, avec l’unité pour
charisme. Ses adhérents cherchent à vivre la volonté du Christ (« Que
tous, ils soient un » Cf. Jn 17,
21) et à contribuer à la faire vivre par tous les hommes.), contribuant
grandement à l’accomplissement de l’exigence de l’unité voulue par le Christ,
se présente comme un instrument de rapprochement et d’ouverture des confessions
chrétiennes. Leur fondatrice nous dit en effet ceci : « Alors
qu’auparavant il n’était que dans l’Eglise Catholique, le Mouvement, désormais,
pénètre une grande partie de la chrétienté et tous cherchent à en vivre
l’esprit autant que possible et comme ils le comprennent.» (CHIARA Lubich, Que tous soient un. Genèse de la
spiritualité de l’Unité, Editions Focolari, Côte-d’Ivoire 1998, p. 25).Le
bon accueil que réservent les Anglicans, les Luthériens, les Orthodoxes, à ce
Mouvement, né dans l’Eglise Catholique, s’ouvrant à elles, témoigne donc de
l’attitude d’ouverture qu’ont déjà ces confessions. Notre souhait est que cet
esprit d’ouverture dont elles font déjà montre, soit de plus en plus vécu pour
que l’unité des chrétiens soit une réalité !
Conclusion
Au
terme de notre analyse sur la légitimité de la recherche de l’unité des hommes, nous retenons que d’une part, nous avons
exposé les fondements d’une telle recherche avant de proposer d’autre part des
moyens pour son bon aboutissement. Loin de nous cette pensée d’avoir épuisé la
réflexion sur cette question. C’est pourquoi, nous pouvons nous poser entre
autres questions : pourrons-nous vraiment achever la construction de
cet édifice de l’unité, lorsque certains
semblent s’évertuer à la déconstruire ? Tout le monde vit-il la fraternité
universelle, si non comment agir envers eux ? Nous pensons par exemple à ceux
qui sont appelés terroristes et qui tuent même leurs frères. La recherche de
l’unité peut sembler donc être un travail de perpétuel recommencement. Ce qui
est sûr, rien ne doit nous empêcher d’aimer l’autre ! Et dans la quête de
l’unité, nous devons toujours compter sur le Seigneur qui nous a dit:
« hors de moi vous ne pouvez rien faire. » (Jn 15, 5)
Sources
-
CHIARA Lubich, Le secret de l’unité. L’unité
et Jésus abandonné, Editions Focolari, Côte-
d’Ivoire, 2002.
d’Ivoire, 2002.
-CHIARA
Lubich, Que tous soient un. Genèse de la
spiritualité de l’Unité, Editions Focolari,
Côte-d’Ivoire, 1998.
Côte-d’Ivoire, 1998.
-HONGRE Bruno, Le dictionnaire portatif du bachelier,
Hatier, Paris, 2008.
-Petite sœur
Annie de Jésus, Charles de Foucauld. Sur
les pas de Jésus de Nazareth,
Nouvelle Cité, 2001.
Nouvelle Cité, 2001.
-Cathéchisme
de l’Eglise Catholique, Editions Paulines, Côte-d’Ivoire,
2011.
-Documents du Concile Vatican II, Décret sur l’œcuménisme, Unitatis
Redintegratio,
Editions Saint-Augustin Afrique, 4e édition, 2012.
Editions Saint-Augustin Afrique, 4e édition, 2012.
-La Bible de Jérusalem,
Les Editions du Cerf/ Verbum Bible, 2001.
- Nouveau Testament et Psaumes, AELF, Editions de l’Emmanuel, Paris,
1993.
KIEMA Séraphin
3ème année de philosophie
3ème année de philosophie
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